En développant leurs produits, les firmes l'ont bien compris, le but est de faire du profit. En effet, elles se sont rendues compte qu'il était possible d'accentuer la rentabilité de leurs ventes. Pour ce faire, les entreprises gardent toujours une marge d'évolution de leurs produits que constituent leur marché, pour toujours garder une avance sur les consommateurs.
Ainsi, elles utilisent le principe de l'obsolescence programmée, qui consistent à rendre les produits comme étant dépassés afin d'inciter davantage le consommateur pour qu'il soit encore plus à la pointe de la technologie et dépendant.
Ce principe de l'obsolescence programmée existe depuis 1920, avec la première ampoule créée par Philips.
Reprenons le cas de l'entreprise Apple : en commercialisant aujourd’hui l’iPhone 5, Apple met non seulement en vente un gadget dernier cri mais impose aussi à ses clients, partenaires et aux producteurs de produits dérivés, une nouvelle donne. Car si le design de l’iPhone 5 marque une rupture avec les modèles précédents, la connectique est, elle aussi, différente : le nouveau chargeur de l’iPhone 5 sera donc incompatible avec les 183 millions d’iPhone, 73 millions d’iPad et 275 millions d’iPod vendus dans le monde. On appelle ce phénomène l'obsolescence par incompatibilité.
Il en sera de même pour les stations d’accueil et autres chaînes hi-fi : de quoi nous pousser à renouveler tous nos équipements. Les ressources naturelles s’épuisent et Apple, la plus grande capitalisation boursière de l’histoire des Etats-Unis, se permet une nouvelle fois de les gaspiller pour vendre plus et rendre le consommateur toujours plus dépendant.
Ainsi, elles utilisent le principe de l'obsolescence programmée, qui consistent à rendre les produits comme étant dépassés afin d'inciter davantage le consommateur pour qu'il soit encore plus à la pointe de la technologie et dépendant.
Ce principe de l'obsolescence programmée existe depuis 1920, avec la première ampoule créée par Philips.
Reprenons le cas de l'entreprise Apple : en commercialisant aujourd’hui l’iPhone 5, Apple met non seulement en vente un gadget dernier cri mais impose aussi à ses clients, partenaires et aux producteurs de produits dérivés, une nouvelle donne. Car si le design de l’iPhone 5 marque une rupture avec les modèles précédents, la connectique est, elle aussi, différente : le nouveau chargeur de l’iPhone 5 sera donc incompatible avec les 183 millions d’iPhone, 73 millions d’iPad et 275 millions d’iPod vendus dans le monde. On appelle ce phénomène l'obsolescence par incompatibilité.
Il en sera de même pour les stations d’accueil et autres chaînes hi-fi : de quoi nous pousser à renouveler tous nos équipements. Les ressources naturelles s’épuisent et Apple, la plus grande capitalisation boursière de l’histoire des Etats-Unis, se permet une nouvelle fois de les gaspiller pour vendre plus et rendre le consommateur toujours plus dépendant.
Les entreprises vendant des technologies de l'information et de la communication utilisent certaines techniques afin de mettre en oeuvre la désuétude de leurs produits. C'est le cas des téléviseurs, auxquels les fabricants mettent les condensateurs à côté du radiateur interne de l'appareil afin que ce dernier soit usé et saccagé avec le temps par la chaleur produite par le radiateur. Ainsi, le produit ne peut fonctionner et le consommateur est forcé de le remplacer, puisque les firmes font en sorte que ce ne puisse pas être réparable.
Avec le temps, les concepteurs de TIC ont fait en sorte de diminuer la résistance de leurs appareils toujours dans le but de faire davantage de profit. En effet, ils se sont rendus compte que plus ils rendaient leurs produits fragiles, plus la durée de vie de ces derniers était courte car au moindre choc, ils se casseraient ou dysfonctionneraient. Ceci inciterait le consommateur à le faire réparer voire même le changer. Ils font également cela pour les coques plastiques qui les composent : les fabricants les rendent plus fins toujours dans le but d'être moins résistants.
Rares sont les produits résistants aujourd'hui. Dans le cas ci-dessus, les 2 smartphones, particulièrement l'iPhone, est littéralement brisé par quelques essais de résistance au sol, lâché en hauteur. Les ingénieurs ont eu l'idée de rendre plus fragile encore les produits pour que le moindre faux-mouvement du consommateur soit fatal.
Avant, les anciens portables étaient résistants, pratiquement incassables. La tendance a été inversée.